28 novembre 2018 00:00
La fermeture des frontières imposée par Pékin a permis aux sociétés chinoises de se développer. Et encore, seule la moitié de la population est connectée.
Pour la deuxième économie mondiale, les BATX (Baidu, Alibaba, Tencent, Xiaomi) auxquels on peut ajouter le « Uber chinois » Didi, le site de e-commerce JD.com et l’équipementier télécoms et fabricant de mobiles Huawei dans la version « Big Seven » sont une véritable locomotive, un État dans l’État. Leur proximité avec le pouvoir politique a de quoi inquiéter, du point de vue des libertés publiques. Car derrière leur puissance économique, c’est un modèle politique qui est véhiculé par ces entreprises.
— France Culture - Du grain à moudre.