les Bérus le prouvent en programmant leur séparation pour la fin 1989. Ce suicide en forme de carnaval marque le dernier grand fait d’armes de Bérurier Noir qui offre trois soirée d’intense folie, enchaînant ses plus grands hymnes sous un déluge de slogans vengeurs « La jeunesse emmerde le Front National ! », de déguisements, de danse et d’happenings en tout genre. Un testament qui sortira en double vinyle un an plus tard sous le nom de code « Viva Bertaga. »