7 janvier 2017 00:00
à des objets répondant aux critères de la définition qu’elle a élaborée en s’inspirant des principes du logiciel libre. L’association précise qu’elle renonce par ailleurs à publier une « licence Open Hardware » et préfère plutôt privilégier une démarche de certification.
Cette orientation montre que l’Open Hardware ne pourra certainement pas suivre la même voie que le logiciel libre ou la culture libre. Ce sont les spécificités du droit de la propriété industrielle qui empêchent les licences Open Hardware de correctement fonctionner.
Pour que la philosophie du « Libre » gagne le domaine de la fabrication des objets, il faudra adopter une démarche différente et le fameux « hack » de la GNU-GPL ne pourra sans doute pas être reproduit. Ce n’est pas un défi impossible à relever, même s’il implique de nouvelles difficultés.