dimanche 10 mai 2020
La vie privée des individus subit de plus en plus d’atteintes.
De nos jours, la surveillance est accrues avec l’avènement des technologies, notamment ce que nos dirigeants aiment appeler « villes intelligentes » ou « villes connectées », les fameuses « smart city »...
Nous ne devons pas non plus négliger l’importance que joue les GAFAM dans ce rôle de surveillance. Ils ont en effet une grosse part de responsabilité et détiennent bien plus d’informations sur nous que n’importe quel gouvernements. Ils impactent volontairement la neutralité d’Internet et ont le pouvoir d’exercer une censure inégalée.
Ces technologies permettent une surveillance et un contrôle étendu des pouvoirs gouvernementaux en place, elle est présente au quotidien et tend à se démocratiser et se banaliser de plus en plus dans le futur à un niveau mondial.
Cette opération est la renaissance d’un combat qui dure depuis déjà des années.
En 2012, une opération du même nom avait vu le jour sur les réseaux et avait combattu avec ténacité des lois et des projets absurdes telles que ACTA, SOPA, PIPA, Indect, Trapwire etc.
Les derniers évènements, notamment la crise sanitaire mondial à la quelle nous faisons face pour lutter face au COVID-19, sert de prétexte à nos gouvernements pour, de nouveau, se servir de notre peur et faire passer des lois liberticides et démocratiser le contrôle et la surveillance du peuple.
En effet, il ne s’agit pas la d’une opération coup de poing mais plus d’une opération se voulant comme étant une référence sur le long terme de la lutte contre la surveillance de masse.